Sur scène d’il y a plus de 10 ans, Sarh Lula lance un nouveau single dénommé « Kung-fu Panda (Eric Mandala) ».
Cet artiste talentueuse de naissance, fait une carrière solo depuis son départ sous la bénédiction de Mamu Nationale, Tshala Muana de son orchestre.
La déesse de « Mutwashi », style musical qu’elle a innové, mélangeant de la Rumba au Mutwashi, ne cesse d’impressionner plus d’un dans la sphère musicale congolaise en particulier, et le monde de la toile en général.
Sarah Lula révolutionne la mutwashi en y mettant du chœur et fait bouger le public par des Karaoké dans différents coins de Kinshasa. Elle a pour la première fois, remixé la magique chanson de Mamu nationale, « Tshibola » en 2018, remix qui a fait bouger les mélomanes et amoureux de la bonne musique.
Cette nouvelle étoile montante de la musique congolaise n’a pas commencé sa carrière chez Mamu Nationale, mais dès son bas âge, elle chantait déjà dans les chorales chrétiennes. Nièce à Tshala Muana, bien qu’elle a accédé dans son orchestre à la même période que MJ30, elle se décide enfin de bâtir une carrière solo après 9 ans aux cotés de sa tante.
Elle se dit déterminée à bouger les murs et se frayer une place dans ce pays de la musique qui ne laisse pas des places libres à personne. Son premier single « Oponi nga » lancé le premier mars dernier avec l’accompagnement du label Aw’art record et qui fait encore du bon chemin malgré la Covid-19 qui a secoué le monde. Cette chanson qui met en valeur les qualités de la femme en plus de sa parure est riche en contenu hors du commun et très éducatif.
D’une pierre deux coups, elle vous recommande de savourer son nouvel opus, « Kung-fu Panda (Eric Mandala) », une œuvre de haute facture, produite toujours par Aw’art record. Cette nouvelle chanson est dédiée au célèbre Docteur des ignorants, Erick Mandala qu’elle appelle affectueusement Doux Gôut Beau, en interprétant sa magnifique Maria Piron.
Mais le single est aussi riche des messages adressés cette fois-ci aux hommes.
Kungfu Panda, une dose musicalement douce qui repeint les beaux gosses !