Il faut réussir et se faire un nom !
Dans la vie, il faut faire un Nom. Oui, un Nom. Mais pas de n’importe quelle manière. Il faut le faire en accomplissant des choses qui vous sortent de l’ordinaire. Des réalisations d’envergures démesurées, assumer des grosses responsabilités et laisser des bonnes traces indélébiles. Nous en parlons dans l’article.
Oui, Il faut le faire ! le faire ? Bah oui ! Et pourquoi ? Eh bien, parce que cela vous confère comme une sorte des supers pouvoirs avec lesquels vous pourriez non seulement inscrire votre histoire dans ce semblant d’éternité en impactant positivement la vie des personnes qui vous environnent et de celles qui entendront parler de vous un peu plus tard, mais aussi influencer l’avenir de votre progéniture. Car souvent l’aura du père sert de passe-partout pour le fils.
L’aura du père sur son fils
Référons nous un peu de la progéniture d’un de nos personnalités de notre pays. Je ne sais pas ce qu’est devenu François Lumumba, le fils de notre héros national, Patrice Émeri Lumumba, ni ce qu’il réalise dans sa vie. Cependant, si ce monsieur débarque dans un bureau ou prend la parole dans une conférence-débat et se présente comme le fils de celui qui a donné sa vie pour la liberté du peuple congolais que nous sommes. Je vous assure que ce dernier ne sera pas regardé comme le fils de mon père. [Rires] bah oui ! Je suis RM malgré mon parcours universitaire modeste, je ne suis rien en termes de notoriété comparativement à lui. Il est sous l’aura de son géniteur.
Les âmes mal nées lol
Et pour ce faire, il n’y a pas pas d’âge, ni période ou encore un endroit précis. Aux âmes bien nées la valeur n’attend point le nombre des années dit-on. Et pour les âmes mal nées, oh mal nées ? [Pensif]
Bien, je ne crois pas que cette expression existe. Mais faisons avec. Aux âmes mal nées, la valeur attend le nombre des années par un travail acharné. Il faut faire un Nom ! Pourquoi je le dis ? Eh bien, j’étais invité par Billy Mutombo, l’ami avec qui je suis sur la photo aux côtés du président de l’assemblée provinciale de Kinshasa, lors d’une conférence-débat organisée au Kempinski Hôtel, le samedi 03 août 2019, à l’occasion du 8ème anniversaire du collectif pour le développement de la République par l’excellence, CODREX en sigle.
Bien habillé, parfumé et coiffé, bon, je dois dire par rapport à ma catégorie hein. [ Rires ]
Très observateur (Le compas dans l’œil et une puce à l’oreille) comme d’habitude, j’ai pu remarquer des choses durant ce moment d’échanges.
1. L’auditoire t’accorde de l’attention par rapport à ton statut,
2. Pour ce que t’as déjà pu accomplir dans ta vie,
3. La Pertinence de ce que tu parle,
4. Par ta manière d’aborder ton discours.
Il faut se faire un « Qui »
Dans tous ces éléments susmentionnés, celui qui captait le plus pour l’assistance, c’est le Qui (Statut). Pourquoi je dis cela ? Bien, parce qu’il y a eu des prestateurs qui ont étés acclamés avant même qu’ils aient placé un mot.
il y avait même une intervenante qui ne semblait pas captivée la salle au début de son intervention mais qui avait pris le contrôle de l’auditoire après qu’elle aie indiqué qu’elle était la fille de son père ( un ancien député de ce pays). Et vous ne vous êtes pas demandés quel a été mon sort ?
[ Rires ] Oup’s ! J’étais transparent au milieu des grandes personnalités comme si j’étais un élément de la déco et ignoré par la presse. Ce qui était choquant, c’était surtout de voir les cameramans et photographes m’éviter comme si je créais un contre-jour [ rires ].
C’est ainsi que je m’étais rendu compte qu’il fallait devenir quelqu’un, impacter son environnement et accomplir des choses dans une autre dimension de la vie afin de baliser le chemin pour ma progéniture. Car c’est souvent l’aura du père qui met le fils en lumière. C’est important. Devenez quelqu’un dans votre secteur.
RM La Fleur Du-Béton
