Pour sa première saison, l’émission animée par le chroniqueur Junior Kiaku a fait le déplacement de son équipe et de ses matériels jusqu’à Abidjan capitale de la terre des éléphants d’Afrique pour s’entretenir avec celui qui s’est surnommé « le Big Boss » Didi B qui aujourd’hui est une pièce maîtresse du rap ivoirien et francophone à travers toute l’Afrique.
Dans la foulée des questions qui s’étend sur un timing de plus de 26 minutes, l’auteur de l’album « History » demeure lucide et met la lumière sur certaines zones d’ombres ayant traits avec ses débuts dans la musique.
Pour Didi B, la musique l’a trouvé depuis petit étant fils d’un musicien et d’une chorégraphe, il baignait dans la musique depuis avec son père qui lui faisait écouter des musiciens comme Lokwa Kanza avec qui il est en contact jusqu’à présent mais aussi Manu Dibango d’heureuse mémoire.
L’artiste est revenu sur d’autres faits marquants à la demande du chroniqueur comme la composition de son album, ses tournées et spectacles car pour lui le spectacle fait partie de lui car dans ses concerts il ne veut pas être un musicien playback « Être extraordinaire sur scène c’est ça mon style… » affirme-t-il.
Et sa signature au sein du label français « 92i Africa » parrainé par Booba; Didi B se dit « heureux » car « c’est eux qui m’ont contacté pour me dire qu’ils veulent me signer. » il a sans mâcher ses mots révélé qu’il attend de ce partenariat une exportation à travers le monde sans pour autant dénaturer son style de musique propre car comme il le dit « je ne veux pas être un énième rappeur français… »
No limit au-delà d’être une simple rubrique d’interview, c’est aussi la qualité des images et du son avec une clarté auditive pour les téléspectateurs.
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