Medard sheleka originaire de la république démocratique du Congo plus précisément à Kinshasa, Artiste désigner, photographe auto formé.
Très jeune, Talentueux, il développe une intelligence photographique passionnelle. Soudain comme par un éclair d’inspiration pendant ses vingt ans d’âge, il perfectionne son style de créa et sa vision de la photographie artistique.
Comme un jeune pro talentueux, enthousiaste et passionné photographique, il créa un style en essayant de se détacher du stéréotype des oeuvres de la plupart de son entourage presque identique à son goût. Avec un pouce bleu de ses fans, on l’appelant Le seul et l’unique magicien de la photographie.
S2KM : Alors bonjour medar j’espère que tu vas bien pour le grand publique comment te présenter ?
Medar : Merci pour la question, déjà je m’appelle Medar Sheleka et mon pseudonyme en photo c’est Medar picture 243
S2KM : pourquoi avoir choisi medar picture 243 comme pseudo officiel de ton entreprise ?
Medar: Oui, en primo medar déjà c’est mon prénom et picture c’est en anglais ce qui veut dire image ou photo en fin 243 c’est l’indicateur téléphonique de notre très cher pays la RDC que je ne pouvais pas oublier et c’est ce qui montre que je suis congolais.
Mais bien avant on m’appelait medar design avant d’être picture 243 vers les années 2017 là j’étais dans le design dont je faisais les conceptions, affiche, logo et autres. Et lorsque je me suis lancé en photographie je me suis dit pourquoi pas medar picture 243, eh ben, par là tout est défini.
S2KM : Tu peux essayer de nous raconter l’histoire derrière ta première rencontre avec la photographie genre comment t’as fait de la photographie ta passion quotidienne ?
Medar : Comme toutes choses, le début a été toujours difficile mais je n’ai jamais abandonné. Déjà quand je grandissais, dans mon quartier j’étais le génie de la photo, vue que je faisais des belles photos avec mon téléphone et j’étais fort côté cadrage je le faisais bien. Vous savez là y avait pas des androïdes, on utilisé le Nokia, Samsung, Sony Erickson.
Et vu que j’ai manipulé déjà l’ordinateur sur quelques trucs, je me suis dit pourquoi ne pas m’améliorer de maintenant en choisissant un domaine. C’est par là que je me suis lancer dans le design et en faisant des design je me suis rappeler qu’avant j’étais passionné dans les photos et j’avais du succès dans mon quartier malgré c’était sur un téléphone.
Un jour un pote est venu avec un appareil photo kodak et il m’a dit de leur prendre une photo là je ne savais rien dans la photographie, il m’a dit y a rien de grave ici appuie juste ici pour capturer, j’ai pris et je les ai pris une photo. La chose étonnante les potes ont regardés la photo, ils m’ont dit waou qui t’a appris comment cadrer une photo mais c’est génial. Après ça j’ai commencé à chaque fois lui cherché pour emprunter son appareil; eh ben, comme c’était une passion j’avais du goût vraiment. Un jour comme on sortait j’ai rencontré un frère qui s’appelle Celio il était aussi photographe et faisait de belles photos à l’époque et j’avais commencé à travailler avec lui
Et vers les années 2017 j’ai quitté le Congo pour la Rwanda là-bas je fais 4 mois de formation parce que j’étais allé pour une formation en photographie.
S2KM : Quel a été le premier projet locale que t’as travaillé dans le domaine artistique ?
Medar : Eh ben, je peux dire que je fais tant de projet artistique mais le plus célèbre c’est celle que je fais avec Gally Garvey pour son clip intimidation avec le réalisateur fanon je lui salue déjà mais avant je fais pas mal de projet artistique.
S2KM : Quel est ta source d’inspiration ?
Medar : Premièrement, on dit que la photographie est une philosophie de l’œil, me yeux sont focaliser sur mon objet ce qui veut dire je m’inspire de tous ce que je vois, on peut me donner un projet avec une personne que je ne connais pas à l’endroit jamais vu mais je ferai de photos tout ça c’est l’éclair de l’inspiration qui est en moi donc c’est original.
S2KM : Quel est le meilleur souvenir liée à ton activité ?
Medar : il y a n’en tellement beaucoup mais ce qui m’a vraiment impressionner c’est quand j’ai travaillé pour fally ipupa dans son concert au stade de martyr en 2022, y avait tellement le monde et moi j’étais le photographe officiel du concert. Ainsi après le concert quand j’ai commencé à poster les photos sur mes pages réseaux sociaux la nuit je me souviens encore j’ai eu des appels de 00H à 07H du mat. Donc y avait tellement des gens que je ne connaisse même pas m’appeler, m’écrivaient de partout en me demandant des photos, des contrats c’était grandiose, l’évènement m’a vraiment booster, je fais de grande connaissance, de grand contrat international. Sur ce vraiment un souvenir vraiment motivant.
S2KM : Quelles sont tes projets pour l’avenir ?
Medar : j’ai des projets et bientôt là ça sera dévoilé au publics mais pour l’instant ce confidentiel. Nous travaillons sur ça et arrangeons quelques trucs pour une meilleure expérience quoi bref ce privé pour le moment
S2KM : Quel conseil tu aimerais bien donner aux jeunes dans le domaine de la photographie ?
Medar : Oui y a pas mal des gens qui m’écrivent sur les réseaux dans la vie devenir la personne que tu souhaits ne pas vraiment un cadeau mais si cela vous tient vraiment au cœur tu dois tout faire pour en devenir, tu dois bosser jour et nuit, avoir des inspirations des partout et n’écoute pas ce que les autres vont parler sur toi parce que c’est ainsi va le monde dans toute les choses les gens te décourageront toujours, te sous-estimeront surtout y aura tant des moqueries mais sache que quand tu seras à la hauteur ils seront les premiers à te jeter de fleurs. Dans tout il faut bosser dure vraiment.
S2KM : Un mot pour la fin…
Medar : Je remercie le bon Dieu pour nous avoir donné la grâce d’être ce que nous sommes aujourd’hui Et un grand merci à toutes les personnes qui me soutiennent de près et de loin, à Jérémie KABAMBA, surtout à Barex HOYI qui contribue tellement dans ma carrière, à BOMI Maxi et à tous me partenaire…
Et j’ai un message à la jeunesse; Je dirai
On est des jeunes, comme jeunes nous devrions faire la fierté de notre pays en étant utile dans la société dans ce qui nous préoccupe, aujourd’hui je vois les jeunes se laissent dans des choses pas croyable ça me rend triste alors que nous tous nous avions un côté positif pour se rendre utile. Jeune regarde toi et fait briller la magie qui est en toi.
C’était Medar picture 243.