Koffi Olomide saisit la justice française pour diffamation publique après le scandale créé par des figurants lors du tournage d’un clip en France. Et cela au regard de la gravité des propos tenus dans la vidéo qui a fait le tour de la toile et a porté atteinte à son honneur.
Le Grand Mopao n’est pas prêt à oublier la cabale dont il a été victime récemment lors du tournage d’un clip à Paris. En effet, Il y a quelques semaines passées, un malentendu s’est éclaté entre ce dernier et les personnes contactées par Jimmy Purplestreet, son réalisateur, pour figurer dans le visuel d’une chanson de sa protégée Cyndi le coeur.
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Et alors que l’embrouille se déroulait, l’une des figurantes s’était éloignée du lieu pour filmer la scène tout en faisant un commentaire discourtois à l’égard de Koffi Olomide, avant de balancer la séquence sur la toile. La vidéo avait créé un bad buzz monstrueux et éclaboussé gravement l’image de cette légende de la chanson rd-congolaise.
De passage dans le concept « Oui Hustle » diffusé via youtube ce mercredi 12 avril, l’artiste est revenu sur cette affaire avec une version des faits qui concorde bien avec celle donnée par son réalisateur. Et koffi a visiblement beaucoup de fierté pour laisser quelqu’un piétiner sa réputation. Il a laissé entendre qu’une plainte est déjà déposée au pénal (en France) contre la femme qui est a l’origine des images qui ont sillonné les réseaux sociaux :
« Je voulais dire ici dans cette émission, que je portes plainte contre cette femme qui m’à insulté. Il y a une vidéo témoin, on a porté plainte au pénal. Donc je vais aller jusqu’au bout avec cette femme-là qui m’a insulté gratuitement parce qu’elle ne me connait pas. On ne s’est pas parlé, je lui ai rien promis, elle m’a rien promis. Elle avait un accord, je ne sais pas lequel, avec le réalisateur. Et puis Cyndi les a payé », a-t-il laissé entendre en premier lieu.
Avant de renchérir : « On a dit que c’étaient de coiffeuses mais non, absolument pas. Les coiffeuses ont été payées… c’étaient des figurants et des figurantes. Et moi je ne veut pas m’en tenir à cela, la femme-là qui m’a insulté publiquement, qui a porté atteinte à mon honneur, qui a fait des imputations dommageables, avec mes avocats, on va la poursuivre et la justice dira ».
RM La Fleur Du-béton